Rudy RIGAUD, Géobiologue Énergéticien

 

Les anciens disaient qu’on ne construit pas là où les animaux ne se couchent pas.

 


La géobiologie est l’étude de l’influence du lieu sur les êtres vivants.

Sans s’en rendre compte nous baignons dans un « électrosmog », un champ électromagnétique naturel (rayonnements cosmo-telluriques) et artificiel (Wi-Fi, téléphone, antenne relais etc.).

La terre produit son propre champ magnétique qui peut être perturbée par des discontinuités du sol (veine d’eau, faille, diaclase etc.) canalise le rayonnement gamma ionisant, ce qui représente une partie de la radioactivité naturelle de la terre.
Aussi, certains rayonnement telluriques naturelles de la terre sont pathogènes (Hartmann, Curry, Grand diagonal etc.). Mais il existe aussi des zones bénéfiques et régénératrices pour le vivant et il convient de séjourner dans ces endroits sains.

L’être humain a son propre fonctionnement électromagnétique et certains rayonnements dissonants ont un effet délétère, qui à court ou long terme peuvent causer des maladies.

Il en est de même pour tous les êtres vivants.

Le géobiologue détecte les zones pathogènes pour placer « en sécurité » les êtres vivants. Il suffit parfois de déplacer un lit ou un bureau de quelques dizaines de centimètres pour retrouver un lieu sain.

Les domaines d’application

La maison :
Le fait de rester plusieurs heures sur un point pathogène (lit, bureau, canapé) peut avoir un impact sur la santé (fatigue, manque de concentration, affaiblissement des défenses immunitaires, fibromyalgie, arthrose, cancer etc.).

Activité professionnelle :
C’est aussi le cas sur son lieu de travail, en position statique comme dans un bureau, qui est souvent « bombardé » de nuisance électro magnétique, à cause des prises électrique, réseau Wi-Fi, les lignes à haute tension ou autre.

L’agriculture :
On remarque parfois qu’une plante dépérie à un endroit alors qu’il suffit juste de la déplacer pour qu’elle s’épanouisse.
Les viticulteurs savent que certaines parties de leur vigne ne développe pas assez ou que certains chais ne fermentent pas correctement.

L’élevage :
Les animaux, bien que plus sensibles à ces phénomènes, dans les élevages ne produisent pas assez ou ont des comportements anormaux.